
Mais que lit Stephen Harper ?
Martel Yann, Martel Nicole (trad), Martel Emile (trad)
Éditeur :
XYZ
Publié le :
01 novembre 2009
ISBN :
9782892615692
Résumé : Plusieurs connaissent la raison qui a motivé Yann Martel à envoyer, le lundi matin de chaque quinzaine, un livre à Stephen Harper, Premier ministre du Canada : le 28 mars 2007, à 15 heures, cinquante artistes – dont Yann Martel – étaient présents pour marquer le cinquantième anniversaire de la création du Conseil des Arts du Canada. Un événement qui aurait dû être historique, mais qui s’est révélé d’une insignifiance totale, la ministre Bev Oda s’étant contentée de souligner brièvement la date anniversaire, après quoi les députés sont passés à autre chose. Ni vu ni connu…
Dans la lettre envoyée au Globe and Mail, le samedi 14 avril 2007, Yann Martel écrit à propos de cet anniversaire : « Le Premier ministre n’a pas dit un mot au cours de notre bref hommage, bien sûr que non. Je crois qu’il n’a même pas levé les yeux vers nous. La joute défense-attaque de la période des questions s’étant à peine terminée, il brassait ses papiers.
« […] Aucun doute que d’être Premier ministre accapare toute son attention et mousse à son comble son sens de l’importance de son activité. Aucun doute qu’il a l’air et qu’il gouverne comme quelqu’un qui se préoccupe peu ou prou des arts.
« Mais il doit bien avoir des moments de quiétude. Alors voici ce que je propose : non pas de l’instruire – ce serait arrogant – mais moins que ça, de faire des suggestions à sa quiétude. »
Voici donc soixante lettres (accompagnées d’un ou de livres) envoyées au Premier ministre du Canada, lettres traduites par Nicole et Émile Martel.
Dans la lettre envoyée au Globe and Mail, le samedi 14 avril 2007, Yann Martel écrit à propos de cet anniversaire : « Le Premier ministre n’a pas dit un mot au cours de notre bref hommage, bien sûr que non. Je crois qu’il n’a même pas levé les yeux vers nous. La joute défense-attaque de la période des questions s’étant à peine terminée, il brassait ses papiers.
« […] Aucun doute que d’être Premier ministre accapare toute son attention et mousse à son comble son sens de l’importance de son activité. Aucun doute qu’il a l’air et qu’il gouverne comme quelqu’un qui se préoccupe peu ou prou des arts.
« Mais il doit bien avoir des moments de quiétude. Alors voici ce que je propose : non pas de l’instruire – ce serait arrogant – mais moins que ça, de faire des suggestions à sa quiétude. »
Voici donc soixante lettres (accompagnées d’un ou de livres) envoyées au Premier ministre du Canada, lettres traduites par Nicole et Émile Martel.
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